CHARLYA ¤ I was there for you in your darkest nights so I wonder where were you?
Messages : 184 Date d'inscription : 23/06/2014
beating heart
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Sam 6 Sep - 22:24
Charly & Elyah
I was there for you in your darkest nights so I wonder where were you?
Les jours passent et se ressemblent toujours autant. Elyah s’ennuie vraiment énormément à Rosewood ; elle avait oublié combien la petite ville de Pennsylvanie pouvait être ennuyant qu’and on avait connu la grande Londres, et qu’on y avait passé de nombreuses années de sa vie. Mais elle est coincée ici pour un bon moment, avec une famille qui l’avait auparavant rejetée pour ensuite se montrer si fausse avec elle que ça réussit à l’en écoeurer. Elle ne leur parle toujours pas, d’ailleurs, malgré le mois qu’elle a passé éveillée. Cependant, elle a fait l’effort d’adresser la parole au psychologue qu’ils lui ont dégoté et elle va même à un groupe de soutien pour les gens qui ont été dans le coma. Elle est un cas à part, quelque part. Elle n’était pas censée se réveiller, et pourtant c’est arrivé. C’est une battante. Tant mieux, au fond. Ce jour là, la brunette ne veut sûrement pas rester enfermer chez elle. Elle choisit de se rendre en ville, histoire de prendre un café et de se balader un peu pour voir des visages qu’elle pourrait se remémorer. Elle va se doucher, profitant de la morsure de l’eau bouillante sur sa peau pour se détendre un peu ; chose rare depuis qu’elle est éveillée vu que la présence constante de sa famille qui est aux petits soins pour elle la rend on ne peut plus nerveuse. Elle sort, serviette autour de son corps mouillée, et sèche ses cheveux avant de les laisser, ondulés comme des vagues, tomber sur ses épaules. Elle va enfiler une chemise blanche en dentelle avec un jean et un blazer noir, enfilant ses doc martens en guise de chaussures. Elle attrappe son sac et claque la porte en partant alors que sa sœur était en train de lui parler. De toute manière, c’est elle la plus grande, elle n’a de comptes à rendre à absolument personne. Et sûrement pas à une sœur qui lui a tourné le dos parce qu’elle n’a pas voulu vivre dans la petite ville qu’est Rosewood et qu’elle a préféré épouser un anglais. Dans tout les cas, elle sort, ses Ray Ban sur le nez pour se protéger du soleil. Elle va au Brew se commander un café avant de se rendre au parc. Elle voit une silhouette familière et s’approche. Excusez moi mais… Charly ? Elyah demande, pour le moins choquée de voir un visage du passé.
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Dim 7 Sep - 21:25
Rosewood, ville ennuyeuse. Charly regrette le temps où il était à Bangkok, installé dans un quartier difficile mais dans lequel il lui semblait avoir quelque chose à faire. Sans vraiment savoir pourquoi, l'agence l'avait envoyé à Rosewood, après l'avoir ramené de force au pays. Il avait tout de même réussi à s'échapper aux Etats-Unis, pour peu de temps puisque quelques mois plus tard, il était de retour avec ses mails, ses contacts et ses mensonges. Charly se mentait à lui-même depuis longtemps.
Les journées à Rosewood n'étaient pas passionnantes et Chalry avait l'impression de se trouver en cage, espionner et surveiller. Par qui ? Pourquoi ? Question trop vague et compliquée. Alors, milieu de journée, il sort de chez lui, sans même savoir où il voulait aller. Ce qu'il voulait faire. Le Brew, repère d'à peu près la majorité des habitants de cette ville. Il allait s'y rendre, Ipad sous le bras, dans l'idée de se prendre un café, de voir peut-être une tête connue. Il traverse le parc, d'un pas décidé, en observant les alentours, mais sans en donner l'air. Une voix trop connue, surgissant du passé quand il ne s'y attendait le moins. Elyah, devant lui, en chair et en os. Ma première réaction est de vouloir la toucher. Voir si elle était vraiment réelle ou si ce n'était pas une apparition venue d'un quelconque pays lointain. Charly ne se retrouvait pas souvent sans voix, mais là... là... "Ely ?"
Elle était toujours aussi belle et Charly ne pu s'empêcher de la revoir, couverte de sang, étendue sur le trottoir de Londres, entre ses bras impuissants. Il n'avait même pas cherché à rattraper le tireur, parce qu'il le savait déjà loin. Mais pourquoi elle ? Pourquoi il n'avait pas tiré sur lui, l'abattant simplement. Non. On avait voulu lui faire du mal. Et il avait usé de la seule personne pour vraiment réussir. Elle ne semblait plus être aussi joyeuse que dans ses souvenirs. Moins pétillante, plus renfermée. Il releva la main vers son visage, posa ses doigts contre sa joue et fini par fermer les yeux quand il la fit venir vers lui, fichant par terre le café qu'elle portait à la main.
Messages : 184 Date d'inscription : 23/06/2014
beating heart
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Lun 8 Sep - 12:07
Charly & Elyah
I was there for you in your darkest nights so I wonder where were you?
Cette ville est réellement tout ce qu’il y a de plus ennuyeuse. Il n’y a pas l’activité de jour comme de nuit que l’ont peut trouver dans la plupart des grandes métropoles américaines comme anglaise. C’est quelque chose qui manque terriblement à la jeune femme, d’autant plus qu’elle est couvée par l’intégralité de sa famille avec qui elle ne s’entendait pas avant de duper la mort pendant cinq longues années. Même actuellement, au fond, ils doivent se moquer d’elle : depuis qu’elle est partie pour Londres elle n’a pas eu de leur nouvelles. Et là, pourtant, elle se retrouve étouffée par cette ribambelle de genre dont pratiquement aucun n’a son nom de famille, qui sont faux avec elle. Elle n’a qu’une envie : fuir, très loin d’ici. Et ne jamais revenir. Et pourtant, non, il faut qu’elle soit coincée avec ces gens qu’elle n’affectionne pas. En ce lundi, la brune décide de sortir quelque soit l’avis de sa sœur cadette, qui se permet d’ailleurs du lui donner des ordres comme si elle avait cinq années tout au plus. Elle n’aime pas ce manque de respect. Elle se rend au Brew, le café fréquenté par énormément de monde dans le secteur. Elle connaît Rosewood comme sa poche et heureusement, vu les années qu’elle y a passé contre son gré. Elle n’aime pas vraiment être ici, mais elle commande son Latte Macchiato et paie en espèce avec le peur d’argent qu’il lui reste, allant par la suite se balader dans le parc, entre les gens. Elle remarque une silhouette familière. Elle ne comprend pas pourquoi, mais elle est sûre de connaître cette personne. Quand elle s’approche et voit le visage de l’homme, son cœur a un raté. Un peu plus grand qu’elle, brun, yeux bleus. Elle effleure machinalement son annulaire gauche où se trouve une alliance, dernier vestige en plus de son nom de famille de son mariage survenu à Londres plusieurs années avant. Finalement, elle va parler au brun qui semble tout aussi choqué qu’elle. Ely ? Ses yeux bleus sont comme écarquillés, la jeune femme relève ses lunettes pour mieux le regarder. Mais que fout Charly dans un trou paumé comme Rosewood, lui qui vivait la grande vie à Londres quelques années avant ? Elle n’en a pas la moindre idée. Il pose ses doigts sur sa joue et elle ne peut pas retenir un frisson au contact des doigts de l’homme sur sa joue. Il l’attire à lui et elle en est surprise, lâchant son latte qui va s’écraser et se répandre dans l’herbe verte du parc. Elle rit doucement et lui fait un sourire timide. Ah bah bien… Sa voix est bien moins forte qu’elle ne l’avait imaginée. Elle est réduite à l’état de simple chuchotement. Mais qu’est-ce-que tu fais là ? Elle lui demande, incapable de détacher son regard noisette des yeux azur de l’homme qu’elle a aimé.
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Mar 9 Sep - 22:24
Jamais ô grand jamais, Charly n'aurait pu imaginer, ni même espérer revoir Ely. Enfin si, il avait espéré, toutes les nuits et tous les jours pendant ces dernières années. Mais il n'aurait pas pu penser une seconde qu'il allait la trouver à Rosewood. Sauf que maintenant qu'il la voit ici, il se souvient d'avoir parlé de la ville avec sa femme. Son ex-femme. Enfin, avec Elyah. Sauf qu'à Bangkok, c'est comme si quelqu'un lui avait lavé le cerveau, comme s'il s'était lui-même lavé le cerveau et mis de côté tous ces souvenirs. Surtout ce avec Ely. Depuis le début de leur relation, il lui avait menti. Pour la protéger, voilà ce qu'il se disait chaque jour au matin et chaque soir avant de dormir. Il la protégeait, alors il n'a rien dit. Sauf que sa protection a volé en éclat quand il a commencé à faire moins attention, qu'il a laissé planer quelques doutes et qu'Ely s'est engouffrée dans cette brèche, la suivie et s'est faite…
Charly secoua la tête, oubliant ces pensées et se concentrant sur la seule et unique merveille du jour. Il n'en croit tellement pas ses yeux que ses doigts viennent toucher sa joue, comme s'il avait besoin d'être sûr que tout ça, n'était pas un mirage. Et puis, parce que ce simple contact n'est pas assez, il l'attire entre ses bras, passe sa main dans ses longs cheveux bruns et enfoui son nez dans le creux de son cou. Il entend sa question, mais comme il ne s'est pas quoi répondre, il se tait, garde le silence un moment de plus et profite de son contact pour sentir cette délicieuse odeur qui n'a jamais quitté ses souvenirs. Maxwell s'était longtemps posé la question "mais qu'est-ce que tu fiches ici ?" Depuis le jour où le MI6 a remis la main sur lui, il se pose la question. Il n'a pas le choix d'être ici et en voyant Ely, il ne peut s'empêcher de se demander si ça n'a pas un lien... Il finit par se détacher légèrement, gardant ses mains sur son visage, caressant sa joue de son pouce. "Rosewood me paraissait sympa..." Et voilà qu'il recommençait avec ces mensonges. Rosewood n'était pas sympa, non. Rosewood était chiant. Pour l'instant. "Je crois que je suis ici pour une raison particulière..." laisse-t-il échapper. Et elle s'appelle Elyah cette raison. Et elle est juste dans ses bras.
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beating heart
Admin
Sam 13 Sep - 22:26
Charly & Elyah
I was there for you in your darkest nights so I wonder where were you?
Elyah n’a plus entendu parler de Charly depuis de longues années maintenant, son coma y ayant très largement aidé puisque la jolie brune y a passé cinq ans. Cinq ans de rêves utopiques parfois, cinq ans à entendre des gens se plaindre à son chevet, des infirmières se taper la discute. Elle se rappelle encore du moment où il lui a dit au revoir, ce fameux moment où les lèvres du beau brun se sont posées sur son front avec trop de douceur. Ce jour là, elle a cessé de se battre, elle a abandonné tout espoir d’un jour le revoir. Et pourtant, Elyah Maxwell est là, face à l’homme qu’elle a aimé durant de nombreuses années. A Rosewood, dans sa putain de ville natale qu’elle déteste. Londres lui manque, c’est certain, mais elle ne peut sûrement pas le dire à sa famille qu’elle veut se barrer seule, loin de cette bourgade pourrie : ils lui en voudraient, c’est quelque chose d’assuré. La brunette est très surprise de voir son époux par ici et visiblement, il en est de même pour lui. Il pose ses doigts sur sa joue tandis que leurs regards sont comme vissés. Ses doigts forment une caresse sur la joue et il finit par l’attirer contre lui pour qu’ils s’enlacent, elle ferme les yeux en enfouissant au passage son visage hâlé contre le torse de l’homme, un petit sourire sur ses lèvres. Elle a renversé sa boisson, mais peu importe, elle est si contente de le voir. Ils restent ainsi enlacés en silence, serrés l’un contre l’autre. Elle sent la main de Charly passer dans ses cheveux. Au final, il s’écarte un peu d’elle mais garde ses mains sur son visage alors qu’elle ne parvient pas à détacher son regard de lui. Rosewood me paraissait sympa... Elle rit doucement. Il s’est bien planté, sur ce coup là. Rosewood n’a rien de sympa : c’est la ville la plus chiante au monde. Elle en est la preuve, à essayer de tromper l’ennui en se baladant dans un parc à la con. Je crois que je suis ici pour une raison particulière... Elle fronce les sourcils. Une raison particulière ? Comment ça ? Elle se détache de son emprise sur elle et se glisse à son bras, l’entraînant à nouveau vers el café pour s’en reprendre un, vu que le sien a été renversé. Et c’est quoi cette raison, t’as une idée ? Ele lui demande avant de se commander un cappucino. Tu veux quelque chose ? Elle propose tout en sortant sa carte pour payer.
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Sam 6 Sep - 22:24
Les jours passent et se ressemblent toujours autant. Elyah s’ennuie vraiment énormément à Rosewood ; elle avait oublié combien la petite ville de Pennsylvanie pouvait être ennuyant qu’and on avait connu la grande Londres, et qu’on y avait passé de nombreuses années de sa vie. Mais elle est coincée ici pour un bon moment, avec une famille qui l’avait auparavant rejetée pour ensuite se montrer si fausse avec elle que ça réussit à l’en écoeurer. Elle ne leur parle toujours pas, d’ailleurs, malgré le mois qu’elle a passé éveillée. Cependant, elle a fait l’effort d’adresser la parole au psychologue qu’ils lui ont dégoté et elle va même à un groupe de soutien pour les gens qui ont été dans le coma. Elle est un cas à part, quelque part. Elle n’était pas censée se réveiller, et pourtant c’est arrivé. C’est une battante. Tant mieux, au fond. Ce jour là, la brunette ne veut sûrement pas rester enfermer chez elle. Elle choisit de se rendre en ville, histoire de prendre un café et de se balader un peu pour voir des visages qu’elle pourrait se remémorer. Elle va se doucher, profitant de la morsure de l’eau bouillante sur sa peau pour se détendre un peu ; chose rare depuis qu’elle est éveillée vu que la présence constante de sa famille qui est aux petits soins pour elle la rend on ne peut plus nerveuse. Elle sort, serviette autour de son corps mouillée, et sèche ses cheveux avant de les laisser, ondulés comme des vagues, tomber sur ses épaules. Elle va enfiler une chemise blanche en dentelle avec un jean et un blazer noir, enfilant ses doc martens en guise de chaussures. Elle attrappe son sac et claque la porte en partant alors que sa sœur était en train de lui parler. De toute manière, c’est elle la plus grande, elle n’a de comptes à rendre à absolument personne. Et sûrement pas à une sœur qui lui a tourné le dos parce qu’elle n’a pas voulu vivre dans la petite ville qu’est Rosewood et qu’elle a préféré épouser un anglais. Dans tout les cas, elle sort, ses Ray Ban sur le nez pour se protéger du soleil. Elle va au Brew se commander un café avant de se rendre au parc. Elle voit une silhouette familière et s’approche.